The Web France

Marathon terminé. Les 8 épisodes avalés.
Série toujours énorme. Beaucoup d'émotions (et de souvenirs).
J'avoue quelques larmes surtout en entendant ça : .

(2019)

Film d'horreur qui fait surgir le fantastique au sein d'une famille touchée par la tragédie. Inquiétante, dérangeante parfois terrifiante cette nouvelle adaptation d'un roman de Stephen King, en choisissant les ambiances et effets suggestifs plutôt que le gore à outrance, provoque finalement plus de trouble que d'effroi et se révèle au final un drame psychologique réussi tout en étant une belle variation sur le thème du Frankenstein de Mary Shelley.

vendredi soir:

de David Fincher (1996)

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samedi soir:

de John Flynn (1989)

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hier soir:

de Alexandre Aja (2010)

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aujourd'hui:

de Jaume Collet-Serra (2014)

classique et sans surprise,le scénario ne s'embarasse pas d'une quelconque crédibilité.....reste que le film ne manque pas de rythme et que la réalisation est efficace mais ça ne renouvelle en rien le genre....tout juste passable !

hier soir:

de Mickael Haneke (1992)

en dépit d'une réalisation clinique qui a tout pour perturber le spectateur,c'est l'ennui qui prédomine durant ce 2ème long métrage de Haneke.....le sujet était pourtant novateur pour l'époque (le repli sur soi d'un ado à cause de sa passion de la vidéo) et il y avait matière à une grande et profonde analyse du phénomène naissant du narcissicisme causé par les images et la fascination morbide des ados pour la violence sur écran
Mais le film est lent et Haneke ne délivre aucun message......ennuyeux !

(1971)

Sean Connery a tourné cinq fois devant la caméra du grand Sidney Lumet. "Le Gang Anderson" (1971) suit le puissant "La Colline des hommes perdus" (1965) et précède le sommet de leur collaboration à savoir le magistral et dérangeant "The Offence" (1972). Suivront l'excellent "Le Crime de l’Orient-Express"(1974) et le sympathique "Family Business" (1989). Polar malin et efficace, "Le Gang Anderson" bénéficie de la mise en scène audacieuse et inventive du cinéaste qui s'en donne à cœur joie pour multiplier et démultiplier l'image et le son afin de dénoncer les dérives d'une surveillance et d'un espionnage audio et vidéo. Mené par un Sean Connery au top de sa forme, un film à redécouvrir et à réévaluer.

(1960)

Un film qui fêtera bientôt ses 60 ans et qui reste encore aujourd'hui d'une modernité troublante. "Plein soleil" ou la mise en lumière d'un jeune débutant à l'aube de sa carrière. Alain Delon irradie l'écran, ensorcèle la caméra, magnétise l'image et envoûte le spectateur. Le charme vénéneux du comédien électrise la pellicule et il faut tout le talent et le charisme de Maurice Ronet et Marie Laforêt pour tenir tête à l'envol de ce jeune Icare vers le soleil de sa gloire, de sa légende et du mythe Delon. Un immense classique du cinéma.

ÉTERNEL !!!

hier soir:

de Guy Ritchie (2000)

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